11 mars 2007

No pussy blues.


Ce disque, je l'ai attendu avec curiosité, impatience et un peu d'inquiétude aussi. Il était toujours possible que ça tourne au numéro de cirque, au scénario marketing éculé du crooner rentré dans le rang qui singerait le meilleur de ses jeunes années pour épater la galerie et rappeler de bons souvenirs aux vieux fans blasés. Ceux auxquels s'adressent maintenant les publicités pour voitures de luxe. Ceux, aussi, qui comme moi revoient Les ailes du désir pour le plaisir des scènes de concert à Berlin avec Crime and the City Solution, Nick Cave et les Bad Seeds.

Soit je suis une coeur de cible abattue à bout portant, soit c'est un très bon disque. C'est peut-être les deux, sûrement même.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

N'ayant vu aucun commentaire, je me permet de te rassurer. C'est un excellent disque.
Aucun doute là dessus.